Récent signataire d’un marché de fournitures informatiques passé par l’intermédiaire du Resah avec Koesio Corporate, le CHU de Besançon explique son choix, par la voix d’Aymeric Maître, Responsable du Département Centre de services de l’établissement.
Comment s’est noué votre partenariat avec Koesio Corporate ?
Les problèmes d’approvisionnement générés par la crise sanitaire ont durement éprouvé la relation fournisseur que nous avions alors pour la fourniture de notre parc informatique, soit quelque 5 500 ordinateurs et plus de 10 000 équipements annexes (tablettes, écrans, douchettes, etc.). Ruptures de stocks, incertitude totale sur les livraisons et surtout loi du plus offrant remisant de fait le secteur public au profit du privé… Alors que l’échéance du marché approchait, toutes ces raisons nous ont convaincus de nous lancer dans une vaste opération de sourcing afin de trouver une solution qui concorde davantage avec nos besoins et nos valeurs. C’est ainsi que nous avons pu étudier plus finement la capacité d’action du Resah et, à travers cette centrale, approcher la qualité de service d’un de ses fournisseurs référencés, à savoir Koesio Corporate.
Alors, justement, en quoi Koesio Corporate vous apporte-t-il un service particulier ?
Au regard de ce que nous avions précédemment vécu, le couple Resah-Koesio présentait deux avantages majeurs. Le premier sans doute tient à la force de conviction, pour ne pas dire la force de frappe, d’une centrale nationale face aux constructeurs. Mais nous avons aussi hautement apprécié la qualité des échanges proposés, avec des correspondants attitrés, chez le fournisseur comme au sein de la centrale, et le devoir – clairement énoncé – d’une information transparente et fiable.
Quel type de marché avez-vous donc signé ensemble ?
Un marché subséquent de quatre ans portant sur l’achat, la maintenance et le support. Cependant, nous réfléchissons aujourd’hui à réinterroger le Resah dans le cadre de notre marché d’impression qui, lui aussi, arrive prochainement à terme.
Comment informatique et numérique sont-ils aujourd’hui indispensables à la performance d’un établissement hospitalier tel que le vôtre ?
Ce secteur constitue ni plus ni moins le nerf de l’activité, sa fluidité, sa réactivité, son évolutivité. Mais encore faut-il pour cela qu’il soit parfaitement adapté aux besoins en temps réel. C’est pourquoi nous devons nous efforcer de résorber notre dette technique en débarrassant notre environnement IT des matériels et applications devenus obsolètes qui en alourdissent les coûts et le fonctionnement. Cette dette était hier de 14 ans, elle s’élève aujourd’hui à la moitié et nous espérons l’abaisser encore jusqu’à 5 ans dans les mois qui viennent. Grâce à Koesio et Dell, nous allons, en effet, pouvoir fonder cette optimisation sur une véritable analyse de cycle de vie et mieux corréler les matériels aux différents besoins métiers du CHU.
Pour finir, qu’attendez-vous de votre relation avec les fournisseurs ?
Tout simplement – si j’ose dire car nous savons maintenant d’expérience que ce n’est pas toujours le cas – des relations fluides et un conseil rigoureux. En un mot, de la confiance réciproque : nous devons ne faire qu’un avec nos fournisseurs, et c’est bien aujourd’hui le cas !
